Tout savoir sur la réforme du bac et le bac 2022

Article publié le 05 février 2020 (mis à jour le 16 novembre 2023) - 0 commentaires
7 minutes
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Laëtitia Leroy

Laëtitia Leroy

Responsable du service pédagogie Acadomia
Lycéenne qui se prépare à son bac

La vocation de cette année scolaire est d’être une classe de consolidation : les tests de positionnement en français et en mathématiques, passés en tout début d’année, ont pour but de faire émerger les lacunes éventuelles des élèves afin d’y remédier dans le cadre d’un accompagnement personnalisé. Il s’agit d’avoir un niveau suffisamment solide dans ces matières fondamentales avant d’aborder la spécialisation des enseignements.

Il s’agit aussi d’une classe de détermination : en fin d’année, les élèves souhaitant s’orienter en première générale doivent choisir 3 enseignements de spécialité pour l’année suivante. Les élèves souhaitant s’orienter en première technologique font quant à eux le choix d’une série (STMG, STL, ST2S, STD2A ou STI2D principalement). Ces choix faits dès la seconde déterminent en grande partie les orientations possibles après le baccalauréat, et il est indispensable d’avoir suffisamment réfléchi en amont à son projet d’études.

L’organisation des classes

Comment est organisée la classe de première ?

Tous les élèves de première suivent 3 enseignements de spécialité (choisis en fin de seconde pour la première générale, ou induits par la série choisie pour la première technologique). S’y ajoutent des cours communs en français, histoire-géo et EMC, langues vivantes 1 et 2, enseignement scientifique (en 1re générale) ou mathématiques (en 1re technologique), EPS.

Les notes obtenues tout au long de l’année comptent pour le baccalauréat, mais aussi pour l’admission dans le supérieur : les bulletins de première apparaissent sur le dossier Parcoursup de chaque élève au moment des vœux auprès des formations post-bac, quelles qu’elles soient.

À l’exception du français, toutes les disciplines sont évaluées dans le cadre du contrôle continu pour le baccalauréat. La spécialité qui ne sera pas poursuivie en terminale est également évaluée dans ce cadre.

Le français fait l’objet d’une épreuve anticipée portant sur l’écrit et sur l’oral et organisée au mois de juin.

Comment est organisée la classe de terminale générale ?

Les élèves de terminale générale poursuivent l’étude des 2 enseignements de spécialité qu’ils ont choisi de conserver en fin de première. Le volume horaire de chacune de ces spécialités passe de 4 h à 6 h. S’y ajoutent des cours communs en philosophie (4 h), histoire-géo (3 h) et langues vivantes 1 et 2 (4 h), enseignement scientifique (2 h), sport (2 h).

À l’exception de la philosophie, tous les enseignements communs sont évalués dans le cadre du contrôle continu, qui compte pour 40 % à l’examen du baccalauréat.

Les élèves passent 4 épreuves en terminale : les deux épreuves de spécialité – en mars – et les épreuves de philosophie et du Grand oral au mois de juin. Les résultats obtenus s’ajoutent à celui de l’épreuve de français de première et représentent 60 % de la note finale du baccalauréat.

Comment est organisée la classe de terminale technologique ?

Comme en terminale générale, les enseignements se partagent entre enseignements communs et disciplines de spécialité (3 en première, 2 en terminale). En voie technologique, c’est le choix de la série qui détermine les spécialités suivies en première puis en terminale.

Les cours communs concernent la philo, l’histoire-géo-EMC, les mathématiques, les langues vivantes et l’EPS. Comme en première, ils sont évalués dans le cadre du contrôle continu, qui représente 40 % de la note finale du baccalauréat.

Les élèves passent 4 épreuves en terminale : les deux épreuves de spécialité – en mars – et les épreuves de philosophie et du Grand oral au mois de juin. Les résultats obtenus s’ajoutent à celui de l’épreuve de français de première et représentent 60 % de la note finale du baccalauréat.

Tout savoir sur le choix des spécialités

Quelles sont les spécialités proposées en voie générale ?

Les élèves optant pour une première générale doivent choisir 3 enseignements de spécialité. En terminale, ils ne peuvent poursuivre que 2 de ces spécialités. Il est bien sûr recommandé de se renseigner sur le contenu et les objectifs des différentes spécialités avant de faire son choix !

Les spécialités proposées aux élèves (dans le cadre de l’académie, et non de chaque établissement) sont les suivantes :

  • Arts,
  • Biologie-écologie,
  • Éducation physique, pratiques et culture sportives,
  • Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques,
  • Humanités, littérature et philosophie,
  • Langues, littératures et cultures étrangères et régionales,
  • Langues, littératures et cultures de l’Antiquité,
  • Mathématiques,
  • Numérique et sciences informatiques,
  • Physique-chimie,
  • Sciences de la vie et de la Terre,
  • Sciences de l’ingénieur,
  • Sciences économiques et sociales.

La spécialité arts sous toutes ses formes

La spécialité art se décline en 7 sous-spécialités, l’élève ne pouvant en choisir qu’une parmi : cinéma-audiovisuel, histoire des arts, théâtre, musique, arts du cirque, danse ou arts plastiques.

Tous les lycées proposent-ils l’intégralité des enseignements de spécialité ?

Non, toutes les spécialités existantes ne sont pas proposées dans chaque lycée.

L’accès aux 7 spécialités les plus courantes – mathématiques ; physique-chimie ; SVT ; SES ; histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques ; humanités, littérature et philosophie ; langues, littératures et cultures étrangères – ne pose pas de problème, on les trouve normalement dans chaque établissement.

Les autres spécialités – soit arts, LLCA (langues, littératures et cultures de l’Antiquité), numérique et sciences informatiques, sciences de l’ingénieur et éducation physique, pratiques et culture sportives – font l’objet d’une offre académique voire nationale, par exemple pour les sous-spécialités artistiques les plus rares. Selon le projet envisagé, il peut donc être nécessaire de changer de lycée, d’académie ou d’étudier par le biais du CNED. La spécialité biologie-écologie n’est proposée que dans les lycées agricoles.

N’hésitez pas à consulter le site de votre académie pour connaître les spécialités proposées dans les lycées de votre secteur.

Y a-t-il des spécialités obligatoires pour accéder à certaines formations ?

Si plusieurs combinaisons sont toujours possibles pour une même formation, la présence d’une spécialité précise dans ce duo peut être fortement conseillée voire obligatoire.

Par exemple, si le projet d’orientation concerne :

  • Une CPGE scientifique MPSI ou MPI, une école d’ingénieurs post-bac (notamment via les concours Advance, Avenir, Geipi-Polytech, Puissance Alpha) = spécialité mathématiques obligatoire + 1 autre spécialité scientifique (physique-chimie ou sciences de l’ingénieur).
  • Une CPGE scientifique PCSI ou PTSI = spécialité physique-chimie obligatoire + 1 autre spécialité scientifique (mathématiques ou sciences de l’ingénieur).
  • Une CPGE économique et commerciale, une école de commerce post-bac ou une CPGE lettres et sciences sociales = mathématiques (spécialité ou option) obligatoires.
  • Le parcours spécifique santé PASS = spécialité physique-chimie fortement conseillée.

Comment choisir ses spécialités de première ?

Il faut bien sûr prendre en compte les résultats obtenus en seconde dans les matières correspondantes, son goût personnel pour telle ou telle spécialité, et éventuellement l’offre proposée par son établissement.

Il est surtout indispensable d’avoir suffisamment réfléchi à son projet d’orientation, le choix des spécialités devant aussi se faire en fonction des compétences exigées par les formations post-bac en lien avec ce projet.

Si cette réflexion n’est pas encore très avancée, on peut commencer par consulter le site Horizon 2021, mis en ligne par le ministère de l’Éducation nationale. Il permet de tester des combinaisons de spécialités afin de savoir à quelles formations ou métiers elles peuvent mener. La plateforme Parcoursup communique également les connaissances et compétences attendues chez les candidats pour chacune des formations proposées.

Comment choisir ses spécialités de terminale générale ?

Chaque élève de première générale est invité à communiquer les spécialités qu’il souhaite conserver en terminale en amont du conseil de classe du deuxième trimestre.

Pour faire ce choix, il faut avant tout avoir à l’esprit que les épreuves finales des deux spécialités pèseront lourd à l’examen, puisque chacune sera dotée d’un coefficient de 16 : mieux vaut donc, si possible, abandonner la spécialité dans laquelle on a le moins réussi en première.

Le choix des spécialités se fera aussi en fonction des compétences exigées par les formations post-bac en lien avec le projet d’orientation. La plateforme Parcoursup communique les connaissances et compétences attendues chez les candidats pour chacune des formations proposées : les consulter peut être utile pour affiner son choix.

Peut-on changer de spécialité entre la première et la terminale ?

Non, ou de façon très exceptionnelle. Une telle demande doit être motivée par des raisons impératives (liées à une poursuite d’études bien précise) et sera soumise à l’approbation du conseil de classe. Rattraper tout le programme de l’année de première demande par ailleurs un travail et des efforts importants.

Le conseil de classe peut-il s’opposer au choix de spécialités de la famille ?

Non. La décision d’orientation définitive prise par le conseil de classe du 3e trimestre porte uniquement sur la voie d’orientation demandée par la famille (passage en 1re générale, en 1re technologique ou réorientation). Le choix des spécialités pour la 1re générale, quant à lui, ne peut faire l’objet que de simples recommandations de la part du conseil de classe.

Toutefois, si le conseil de classe émet de fortes réserves quant à la capacité de l’élève à réussir dans l’enseignement de spécialité demandé, mieux vaut en tenir compte et envisager une autre option ; et si cette spécialité est décidément indispensable au regard du projet post-bac, une remise à niveau ou un accompagnement sont à prévoir pour garantir des résultats suffisants.

Tout savoir sur les mathématiques en première et terminale

Peut-on se passer des mathématiques en première générale ?

L’absence des mathématiques dans le tronc commun conduit de nombreux élèves à les choisir en spécialité, sans doute par crainte de se fermer des portes au moment de l’orientation dans le supérieur. Mais le niveau relevé de cet enseignement doit faire réfléchir : les élèves qui ont des résultats déjà moyens en seconde risquent fort de voir leurs notes plonger en première.

Opter pour la spécialité mathématiques doit résulter d’un vrai choix – motivé par le goût pour la matière ou un projet d’études qui la rende incontournable – et se justifier par un niveau suffisant. Si cette spécialité s’avère indispensable en dépit de notes moyennes voire fragiles en 2de, un soutien scolaire sera à envisager.

Peut-on se passer des mathématiques en terminale générale ?

Les élèves ayant suivi la spécialité mathématiques en première se trouvent face aux choix suivants pour leur année de terminale en fonction de leur projet :

  • Abandonner la spécialité mathématiques et choisir l’option « mathématiques complémentaires ». Cette option de 3 heures hebdomadaires est destinée aux élèves qui ont besoin de bases suffisantes en mathématiques au regard des études envisagées. C’est le cas en particulier des lycéens visant un parcours en médecine, en économie ou en sciences sociales.
  • Conserver la spécialité mathématiques.
  • Conserver la spécialité mathématiques et y ajouter l’option « mathématiques expertes ». Comme son nom l’indique, cette option de 3 heures qui vient s’ajouter aux 6 heures d’enseignement de spécialité est destinée aux élèves qui veulent s’assurer un niveau très solide en mathématiques. Elle est recommandée aux lycéens qui visent une prépa scientifique ou économique.

Il est bien sûr possible d’abandonner tout bonnement la spécialité, sans plus faire de mathématiques en terminale, si cela est cohérent avec les études envisagées.

Le choix quel qu’il soit doit être mûrement réfléchi, motivé par un niveau adéquat et un projet d’études suffisamment mûri.

Prendre l’option « mathématiques complémentaires » en terminale générale sans la spé maths en 1re ?

Oui, à condition de suivre une remise à niveau, car le programme de cette option se place dans la continuité de l’enseignement de première. Ce choix, qui impliquera donc beaucoup d’efforts et de travail de la part de l’élève, doit être bien réfléchi.

Tout savoir sur l’examen du bac

En quoi consiste le contrôle continu du nouveau bac ?

Le contrôle continu représente 40 % de la note finale. Il prend en compte les bulletins de 1re et de terminale, et concerne les enseignements suivants :

  • L’enseignement de spécialité suivi uniquement en classe de première (coefficient 8) ;
  • L’histoire-géographie, l’enseignement scientifique dans la voie générale, les mathématiques dans la voie technologique, la langue vivante A, la langue vivante B et l’éducation physique et sportive (coefficient 6 pour chacune des matières) ;
  • L’enseignement moral et civique (coefficient 2).

Quelles sont les épreuves finales du baccalauréat ?

L’examen final du baccalauréat, qui représente 60 % de la note finale, comporte 5 épreuves. Elles portent sur les enseignements qui ne font pas l’objet d’une évaluation dans le cadre du contrôle continu :

En fin de première, les élèves passent l’épreuve anticipée de français (écrit + oral).
En terminale, ils présentent les 4 épreuves suivantes :

  • 2 épreuves portant sur chacune des spécialités suivies en terminale,
  • 1 épreuve écrite de philosophie,
  • 1 « Grand oral ».

Quels sont les coefficients du baccalauréat général ?

Le contrôle continu représente 40 % de la note finale. Il prend en compte les bulletins de 1re et de terminale, et concerne les enseignements suivants :

  • L’enseignement de spécialité suivi uniquement en classe de première : coefficient 8 ;
  • L’histoire-géographie, l’enseignement scientifique dans la voie générale, les mathématiques dans la voie technologique, la langue vivante A, la langue vivante B et l’éducation physique et sportive : coefficient 6 pour chacune des matières ;
  • L’enseignement moral et civique : coefficient 2.

L’examen final du baccalauréat, qui représente 60 % de la note finale, comporte 5 épreuves :

  • L’épreuve anticipée de français (écrit + oral) : coefficient 10 ;
  • Les 2 épreuves portant sur les spécialités suivies en terminale : coefficient 16 pour chacune des spécialités ;
  • L’épreuve écrite de philosophie : coefficient 8 ;
  • L’épreuve du Grand oral : coefficient 10.

Quels sont les coefficients du baccalauréat technologique ?

Le contrôle continu représente 40 % de la note finale. Il prend en compte les bulletins de 1re et de terminale, et concerne les enseignements suivants :

  • L’enseignement de spécialité suivi uniquement en classe de première : coefficient 8 ;
  • L’histoire-géographie, l’enseignement scientifique dans la voie générale, les mathématiques dans la voie technologique, la langue vivante A, la langue vivante B et l’éducation physique et sportive : coefficient 6 pour chacune des matières ;
  • L’enseignement moral et civique : coefficient 2.

L’examen final du baccalauréat, qui représente 60 % de la note finale, comporte 5 épreuves :

  • L’épreuve anticipée de français (écrit + oral) : coefficient 10 ;
  • Les 2 épreuves portant sur les spécialités suivies en terminale : coefficient 16 pour chacune des spécialités ;
  • L’épreuve écrite de philosophie : coefficient 4 ;
  • L’épreuve du Grand oral : coefficient 14.

Quel est le poids du dossier scolaire dans les admissions post-bac ?

Qu’on se le dise, désormais, la quasi-totalité des formations seront très regardantes sur les résultats et appréciations obtenus par l’élève durant les années de première et de terminale. Ceux-ci devront donc être optimaux pour augmenter ses chances d’obtenir son vœu d’orientation préférentiel.

Quelles spécialités choisir pour une orientation en droit ?

Les études de droit réclament de bonnes compétences en expression écrite et orale, des capacités d’analyse et de réflexion ainsi qu’une culture générale et une curiosité développées. Afin d’être à l’aise dans cette filière, il est par conséquent recommandé de suivre les enseignements de spécialité suivants :

  • Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques,
  • Sciences économiques et sociales,
  • Humanités, littérature et philosophie.

En terminale, suivre l’enseignement optionnel « droit et grands enjeux du monde contemporain » est vivement conseillé car il amorce des problématiques qui seront au programme de première année de licence.

Quelles spécialités choisir pour une orientation en médecine ?

Afin de disposer des bases scientifiques nécessaires pour réussir dans les études de santé, il faudra privilégier le trio suivant :

  • Physique-chimie en premier lieu car ces deux matières sont transversales et très présentes en première année de médecine,
  • Mathématiques,
  • Sciences de la vie et de la Terre.

En terminale, il faudra choisir la spécialité à abandonner entre mathématiques et SVT, l’élève ayant tout intérêt à conserver la matière dans laquelle il obtient les meilleurs résultats. En cas d’abandon des mathématiques, nous conseillons de suivre l’option « mathématiques complémentaires » pour conserver des réflexes qui seront indispensables en médecine.

Quelles spécialités choisir pour une orientation en CPGE (classe prépa) scientifique ou en école d’ingénieurs post-bac ?

En ce qui concerne les prépas scientifiques MPSI, PCSI, PTSI et MPI, les enseignements de spécialité incontournables en première sont les mathématiques et la physique-chimie. En terminale, l’enseignement des mathématiques est à conserver, associé à un autre des enseignements scientifiques suivants : physique-chimie, sciences de l’ingénieur ou numérique et sciences informatiques.

Pour la prépa BCPST, les enseignements à choisir en priorité en première sont les mathématiques, la physique-chimie et les SVT ou biologie-écologie. En terminale, le duo physique-chimie et SVT peut être envisagé, à condition de suivre l’option mathématiques complémentaires.

Pour les concours des écoles d’ingénieurs post-bac (Avenir, Advance, Geipi Polytech, Puissance Alpha), les spécialités mathématiques et physique-chimie sont à choisir en premier lieu. En première, la troisième spécialité dépendra du projet professionnel ou de l’école visée : on peut par exemple choisir « sciences de l’ingénieur » pour une spécialisation en mécanique ou en électronique, « sciences de la vie et de la Terre » pour intégrer une école d’agronomie, et « numérique et sciences informatiques » pour travailler dans l’informatique.

Quelles spécialités choisir pour une orientation en CPGE (classe prépa) éco ou une école de commerce post-bac ?

Pour une admission en CPGE économique et sociale, un enseignement de mathématiques (spécialité en première, spécialité ou option en terminale) est indispensable. Le ou les autres enseignements sont à choisir parmi ceux-ci :

  • Sciences économiques et sociales ;
  • Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques ;
  • Humanités, littérature et philosophie ;
  • Langues, littératures et cultures étrangères ;
  • Langues, littératures et cultures de l’Antiquité.

Les écoles de commerce post-bac recrutant sur concours commun sélectionnent le plus souvent leurs candidats via des épreuves de culture générale, de langues, de raisonnement logique et de calcul, et de note de synthèse. Les spécialités à choisir en priorité sont donc celles-ci :

  • Mathématiques,
  • Sciences économiques et sociales,
  • Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques,
  • Langues, littératures et cultures étrangères,
  • Humanités, littérature et philosophie.

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